Adaptateur T2 pour Coronado PST

Réglage de netteté quasi impossible avec un reflex à visée optique

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Alors que la plupart des montures T sont constituées d'un tube fileté d'un coté pour la monture T et de l'autre adapté au branchement sur un télescope, celui-ci comprend également un oculaire TS Optics Super Plössl de 25 mm. L'utilisation de cet oculaire est nécessaire (après avoir enlevé l'œilleton) pour relier mécaniquement le Coronado PST au gros cylindre de la monture T. Mais il joue aussi le rôle d'un tripleur (estimation) de focale.
Bien que la focale du Coronado PST ne soit que de 400 mm, grâce à l'oculaire, le diamètre apparent du soleil atteint presque la largeur du petit bord d'un capteur d'appareil APS-C. Très bien pour le cadrage donc.
Le problème vient de l'ouverture de l'ensemble. Avec une diamètre de lentille frontale de 4 cm, le PST a une ouverture d'origine de f/10, mais en rajoutant les lentille de l'oculaire, on arrive à une ouverture de l'ordre de f/32. C'est est trop pour régler la netteté sur un dépoli avec lentille de Fresnel comme celui du Canon EOS 600 D. Peut être qu'un boîtier avec verre dépoli uni irait mieux. Quant à la possibilité d'utiliser l'afficheur numérique, éventuellement en faisant un zoom sur l'image pour régler la netteté, c'est une bonne idée pour l'observation de nuit, mais on ne voit plus grand-chose sur cet écran en plein soleil !
Un boîtier hybride avec visée numérique dans l'oculaire est peut-être la solution. A tester.
Intrinsèquement, cette monture est astucieusement conçue, mais la combinaison entre un télescope solaire de faible diamètre, une longue focale résultante et une visée optique plus adapté à des objectifs ouvrant entre f/1,4 et f/5,6 donne une visée inexploitable pour faire la mise au point.